« Nothing isn’t better or worse than anything. Nothing is just nothing.»
La petite Arya a bien grandi depuis le temps… que d’évolution dans ce personnage qui a eu à quitter l’enfance si brusquement pour devenir personne. Si vous ne la connaissez pas encore, elle provient de la série Games of Thrones et, si vous deviez croiser son chemin, dites lui juste « Valar morghulis » et décampez aussi vite que possible, on ne sait jamais…
L’histoire d’Arya est pleine d’enseignements, par l’horreur des épreuves qu’elle a pu traverser et l’attitude avec laquelle elle a fait face à tout cela est juste remarquable. Le petit monde dans lequel elle vivait a été purement et simplement annihilé et loin de se laisser abattre, elle a décidé qu’elle passerait a travers ces épreuves et qu’elle châtierait les coupables… mais comment faire quand on est qu’une enfant sans famille, sans plus rien depuis peu dans un monde extrêmement dangereux et que nos pires ennemis y sont aux commandes? (oui, quand même hein…)
Aide toi et le ciel t’aidera…
L’histoire d’Arya, au delà du facteur clé de sa capacité de résilience (si on n’est pas maître de ce qui nous arrive, on est en revanche maître de ce qu’on fait de ce qui nous arrive) illustre un concept fort et sur lequel je vous propose de faire vos propres recherches, il s’agit de la loi d’attraction. Avoir un objectif précis et quantifié et y allouer toute sa foi et toutes ses ressources dans le seul et unique but de le réaliser. Voilà qui laisse ensuite très peu de chance au hasard, c’est à ce moment précis que la magie opère et que sans savoir vraiment comment, le miracle peut se produire! Le pouvoir de l’autosuggestion et d’un focus à toute épreuve dans la réalisation d’un objectif sont absolument déterminants (Arya a très tôt établi une liste des personnes qui auront des comptes à rendre et elle récite leur nom en boucle comme un mantra). Là où vous placez tout votre attention et vos efforts,
les résultats suivront! 🙂
J’ai choisi de dessiner ce portrait car il représentait pour moi une étape de transition, cette fragilité de l’enfance, cette douceur et en même temps la perte de l’innocence et la transformation d’Arya en un personnage ayant une conscience bien plus large du monde et des choses de la vie tout en devenant dans le même temps un assassin machiavélique et implacable… Papa serait sûrement fier mais effrayé en même temps… L’hiver vient les amis, l’hiver vient…